Enseignement supérieur & Formation professionnelle
Les filières du futur
Décrocher son baccalauréat est le couronnement de toute vie de lycéen. Mais une fois ce fameux sésame en poche, les choses sérieuses commencent. Quelle voie choisir ? Quelle école ou université fréquenter ? L'étudiant est souvent confronté à un terrible dilemme car de ses choix, judicieux ou malheureux dépendra tout son avenir.
Radioscopie de l'enseignement supérieur privé : diversification par l'innovation dans la formation et la recherche
Au Maroc, la première école de l'enseignement supérieur privé a vu le jour en 1981. Depuis cette date, de nombreux instituts, écoles et établissements ont été créés en réponse à la demande des étudiants et des professionnels marocains.
Une année après l'application de la réforme universitaire : enseignants et étudiants critiquent le nouveau système
La réforme universitaire a constitué depuis son lancement un grand sujet de débat. Enseignants, étudiants et parents se demandent si vraiment le nouveau système arpente le bon chemin. Une année après l'entrée en vigueur de cette réforme, tout le monde semble méfiant.
Les filières à suivre : que faire après le bac ?
Les heureux candidats du bac qui arrivent à décrocher le sésame n'auront pas le temps de fêter leurs succès. A peine les résultats prononcés, ils devront faire face au dilemme du choix des filières. Il faut dire que le choix de la filière à suivre est un véritable casse-tête chinois pour ces jeunes élèves fraîchement titulaire du diplôme du baccalauréat. Tout mauvais choix risque d'hypothéquer l'avenir de l'élève, qui à cet âge, se dessine déjà un avenir radieux.
Formation et emploi : quelles sont les filières les plus recherchées ?
L'orientation est déclarée partie intégrante du processus d'éducation et de formation. Elle accompagnera et facilitera la maturation vocationnelle, les choix éducatifs et professionnels des apprenants, ainsi que leur réorientation, chaque fois que de besoin, dès la seconde année du collège et jusqu'au sein de l'enseignement supérieur.
Entretien avec Said Oulbacha, secrétaire d'Etat à la formation professionnelle : « Le secteur privé est directement impliqué dans la gestion de la formation professionnelle»
La Formation professionnelle s'ouvre sur l'enseignement supérieur et le secteur de l'enseignement privé. Avec l'évolution de l'environnement économique et social de nouveaux profils qui nécessitent un niveau scolaire de plus en plus élevé sont demandés. Le temps des ouvriers qualifiés n'est pas dépassé mais les besoins en techniciens supérieurs spécialisés voire en ingénieurs grandissent d'année en année. C'est ce qui explique d'ailleurs les mutations que vit la formation professionnelle.Dans cet entretien, Said Oulbacha, secrétaire d'Etat à la formation professionnelle apporte un éclairage sur ces mutations et les perspectives de développement dans le secteur.
Réforme de la formation continue : nécessité des conventions collectives négociées
La mise à niveau de l'entreprise privée et du secteur public est tributaire de leur capacité à gérer les compétences par la formation continue. Celle-ci recouvre toute les actions de formation destinée aux personnels en activité dans un secteur économique. Ces actions peuvent viser une amélioration du niveau de qualification en vue d'une meilleure productivité, d'une meilleure qualité du produit, d'une promotion, etc.
Les métiers du Secteur Paramédical : des professions à l'abri du chômage
Infirmiers, aide-soignants, diététiciens, ergothérapeute, masseur-kinésithérapeutes, opticiens lunetiers, orthophonistes, pédicure-podologues, etc, tous appartiennent à la grande famille des paramédicaux. Ces professionnels ne connaissent pas la crise du chômage.
Diplôme en quatre ans à l'Institut supérieur maghrébin d'optique et d'optométrie : Opticien, un métier en vue
Derrière une petite porte traditionnelle, dans le quartier Aïn Diab, se trouve l'Institut supérieur maghrébin d'optique et d'optométrie, formé de salles de cours et de salles de travaux dirigés, entièrement équipées. Des étudiants de toutes les régions du Royaume, mais aussi d'Afrique viennent y préparer un diplôme censé les mettre tout de suite sur le marché du travail. Pour ce faire, les responsables ont misé sur la qualité et la rigueur.
Pour répondre aux défis de la société du savoir : l'alliance entre l'entreprise et l'université est appelée à se renforcer
Face aux lourds investissements entraînés par les nouvelles technologies, le secteur privé, grand consommateur des produits éducatifs, devra s'allier à l'université. Et les savoirs, imprégnés par ces changements, susciteront des demandes du public dans plusieurs domaines: santé et soins, amélioration du cadre de vie, loisirs, culture, approfondissement des connaissances et multimédia.
La question de l'orientation chez les bacheliers avec M. A. Lahlou, Pdg de SEGEPEC : «Le Maroc offre de plus en plus de réelles opportunités d'études supérieures»
«Passe ton bac d'abord!" Combien de parents ont-ils répété ce refrain à leurs ados, persuadés qu'une fois le précieux parchemin en poche l'essentiel serait assuré. Passé le bac, fini les tracas ? Ce serait bien beau mais la réalité est tout autre. En cette période d'orientation où il faut faire des choix impératifs, et souvent sans retour, l'objectif est de tordre le cou aux idées reçues pour bien choisir sa voie dans l'enseignement supérieur. Car, pour qui en connaît les arcanes, notre système recèle de formidables possibilités. Entretien avec M. Abderrahmane Lahlou, Pdg du Groupe SEGEPEC.
Restructurant son projet pédagogique et offrant des bourses d'excellence pour les étudiants les plus méritants : l'ESIG, un monde en perpétuel mouvement
Après avoir obtenu la Certification ISO 9001 (version 2000) pour ses quatre établissements, le Groupe ESIG vient de procéder à l'ajustement de son projet pédagogique : «un monde en marche», d'après le credo de ses dirigeants. M. Azzeddine Bennani et Khalid El Ouazzani, respectivement Président et Consultant académique du Groupe ESIG, nous expliquent les innovations de la rentrée.
Recourir à un crédit pour financer ses études supérieures : le Niet des banques marocaines
L'avenir, les études, la formation pour les étudiants marocains, tout ceci est parfois, et même souvent, mis entre parenthèse, pour de «simples» raisons matérielles. Faute d'argent donc. Dans d'autres pays, l'étudiant peut bénéficier d'un crédit pour le financement des études de son choix, à des taux préférentiels, avec même une possibilité de remboursement une fois son diplôme en poche. Seulement voilà, cela se passe uniquement sous d'autres cieux !
tiré du journale "le matin"
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